Nos familles témoignent

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Une famille d'accueil tenant un chiot dans les bras

NOS FAMILLES TÉMOIGNENT

Nos familles d’accueil bénévoles témoignent et vous font partager leur expérience

Un vrai bonheur

« Il y a bien sûr le sentiment de faire une bonne action, mais c’est aussi un réel plaisir. Avoir un chiot ou un jeune chien, s’en occuper, l’éduquer et passer de formidables moments de jeux et de détente avec lui, c’est un vrai bonheur. »

L’apprentissage au quotidien

« Concrètement le travail de la famille d’accueil consiste à donner les bases d’éducation au chiot. Au-delà de la propreté, nous lui apprenons, par exemple, à circuler en ville en toute confiance, à savoir appréhender des situations nouvelles sans crainte, pour la sécurité de son futur maître. Il doit aussi apprendre à marcher à côté de vous, à s’arrêter devant des escaliers ou devant les passages piétons… Nous sommes également très attentifs à ses changements de comportement tout au long de sa croissance. »

Une expérience humaine

« Les éducateurs sont là pour nous conseiller, nous rencontrer, nous aider à travailler correctement avec notre chien. Nous rencontrons aussi les personnes déficientes visuelles ayant déjà un chien et surtout, au bout des deux ans, nous faisons la connaissance de la personne qui fera équipe avec notre chien. C’est une très belle expérience humaine. »

Etre famille d’accueil en travaillant

« On peut très bien être famille d’accueil et travailler. Il faut pouvoir amener le chien avec soi et être suffisamment disponible pour l’ensemble des suivis. L’intégration d’un futur chien guide dans un milieu professionnel peut se faire sans aucun problème. Le notre est devenu un vrai et bon compagnon de travail qui ne dépasse plus la limite de mon bureau et sait se faire discret. Une affiche de l’association explique sa présence et les commentaires sont toujours positifs comme celui d’une cliente ravie de voir que ses dons pour les chiens guides avaient un sens. »

Quitter le chien au bout de deux ans

« On nous pose souvent la question de la séparation d’avec le chien, à la fin de son éducation. Est-ce que ce n’est pas trop difficile ? Comment arrivez-vous à vous en séparer ? C’est vrai que ce n’est pas un moment très facile, mais c’est très vite oublié lorsqu’on voit la personne se déplacer avec le chien que l’on a aidé à éduquer. Quand on discute avec elle, quand on a des nouvelles régulièrement. On a alors qu’une seule envie : recommencer ! »

Participer à la vie associative

« Etre famille d’accueil, c’est aussi être partie prenante dans un projet associatif. En plus de l’aide apportée pour l’éducation du chien, on peut faire partager notre engagement à la cause du chien guide en participant à des actions de sensibilisation au handicap visuel (dans les écoles, les entreprises, sur des stands, etc.). C’est toujours enrichissant et cela nous permet de mieux nous connaître les uns, les autres. En rencontrant des personnes déficientes visuelles, cela nous permet aussi de mieux comprendre certains besoins ou contraintes dans l’éducation du chien qui nous est confié. Dans cette même optique, un club appelé « De patte en main » organise régulièrement des activités (week-end sportifs, lotos, repas dans le noir, sorties culturelles, etc.) qui permettent aux maîtres déficients visuels et aux familles d’accueil de partager des moments de convivialité et de faire vivre cet esprit associatif. »

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